LE BETISIER DE LA F1

MICHAEL SCHUMACHER
Fâché avec le règlement

Le problème avec Michael c'est qu'il est tellement talentueux que la moindre bêtise devient énorme.
En 1994 à Silverstone; à l'époque chez Benetton, il double Damon Hill qui est en pole position,
pendant le tour de chauffe. Ce qui est, évidemment strictement interdit par le réglement.Il reçoit normalement une pénalité de 10 secondes,qu'il ne respecte pas , et est déclassé.



ALAIN PROST
Tour de chauffe dangereux

Avec lui, tout est évalué, calculé, analysé.
Les risques inutiles ne font pas partie de sa logique.
Les erreurs de conduite sont donc
trés rares chez ce virtuose.
Pourtant, à Imola en 1991, alors qu'il pilote chez
Ferrari , pendant le tour de chauffe, il se
laisse piéger par une piste détrempée, effectue un
tête à queue, et ne prend pas le départ de la course.



NIGEL MANSELL













Pilote et comique

Ce pilote , au talent et à la fougue inconstestables à
grisé son palmarès de quelques faits mémorables.

1989 au Portugal Mansell pilote chez Ferrari ,réalise un arrêt mouvementé à l'occasion des changements de pneus.
Il déboule dans les stands, bloque ses roues, et loupe son écurie.Qu'à cela ne tienne, il enclenche sa marche arrière et rentre au stand ce qui est strictement interdit. Il écope d'un drapeau noir, qu'il jure n'avoir pas vu ??, continue sa bagarre avec Senna pour la deuxième place, et après une manoeuvre suicide, termine dans le décor avec le brésilien.

1990 au Japon, Mansell, en tête de la course et déchaîné, s'arrête au stand pour le changement de pneus redémarre comme un fou et explose sa transmission, les mécaniciens ramassent encore les billes .

1991 au Canada, à 1 km de l'arrivée, sûr de gagner à bord de sa Williams , il dégrafe son harnais et salue la foule.
En abordant la dernière épingle, il oublie de rétrograder et cale... offrant ainsi la victoire à Nelson Piquet. Ce dernier, qui déteste Mansell, en rit encore.



AYRTON SENNA
Coup de folie à Monaco

1988 à Monaco, alors qu'il mène la course avec 50 secondes d'avance, il rate le virage du portier et aboutit directement dans le rail, offrant ainsi la victoire à Alain Prost.